Bâle: 4 lieux à ne pas louper

Dans cet article, je vais vous parler d’une ville magnifique que j’ai visité en août 2017: Bâle (ou Basel en Allemand). Toute proche de l’Allemagne et de l’Alsace, la ville de Bâle est blottie sur sa petite colline face au Rhin et aux montagnes de la forêt noire toute proche. Même si j’ai passé très peu de temps en Suisse, j’aime énormément ce pays ainsi que l’ambiance unique qui y règne. Tout comme la Belgique, la Suisse est un pays multiculturel et multi-langues, les Helvètes ne parlent pas moins de quatre langues! On compte parmi celles-ci le français, l’allemand, l’italien, ainsi que le romanche, un dialecte dont l’utilisation reste  »semi-officielle ».  Encore aujourd’hui je connais très mal la Suisse, mais j’espère dans les années à venir y passer plus de temps. Cependant, j’ai pu visiter Bâle, ainsi que Genève où j’ai eu l’occasion de passer une journée en solitaire en 2019. 

Dans l’avenir, je souhaiterais aussi pouvoir visiter les magnifiques montagnes qui jalonnent le pays, ainsi que découvrir les principales villes suisses qui parlent chacune leurs propres langues. Le seul problème du pays pour les voyageurs fauchés (comme moi ;)), reste le côté financier. La Suisse, au même titre que le Danemark, la Suède, ou encore l’Islande, fait partie de ces pays où le coût de la vie est exorbitant! Ce petit pays se place donc naturellement en tête de la liste des pays en termes de coût de la vie, et même plus récemment encore, la ville de Genève a défié les chroniques en instaurant un SMIC à 4 000€! 


Parlons de la Suisse…

Durée du trajet : 1h00 (Colmar / Bâle)

-Durée du voyage: quelques heures

-Kilomètres parcourus: moins de 20

-Décalage horaire: 0h

-Capitale: Berne

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Français, Italien, Allemand et Romanche

-Monnaie: Franc Suisse (CHF)

-Coût de la vie: supérieur à la France

-J’ai voyagé : en bus

-Ce que j’ai préféré: la vue depuis le clocher de la Cathédrale de Genève

-Ce que j’ai moins aimé: x

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: en famille / en solo

-Sécurité: 5/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 70€ et 100€ (hôtels)-Entre 15€ et 30€-Bus: environ 10€ a/r
-Transport: Moyen
-Visite, autres: Très cher

Parlons de Bâle…:

-J’ai voyagé…. : en bus , à pied

J’ai logé: x

-Kilomètres parcourus: deux ou trois

-Ce que j’ai préféré: la Basler Münster

-Ce que j’ai moins aimé: x

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-La douceur de vie
-Le calme et la propreté des rues
-Bâle et sa belle Cathédrale
-Le coût de la vie exorbitant

En résumé j’ai passé…

2017: visite éclair de Bâle

2019: visite de Genève en une journée


I. le Basler Rathaus et la Marktplatz

Lors de ma visite de Bâle, le premier monument que j’ai eu l’occasion de voir est le bel hôtel de Ville (Rathaus Basel), un ancien bâtiment du XVIème siècle qui domine la Place du Marché (Marktplatz) avec son beau clocher rouge. La façade présente aussi de riches fresques colorées ainsi qu’une petite tour dorée en son centre.   

Devant l’hôtel de ville se trouve donc la Marktplatz, une des places principales et fondamentales dans la vie des bâlois qui y transitent souvent. C’est d’ailleurs sur cette place que passe le tramway de Bâle qui est l’un des plus anciens et des plus unique en Europe, car en plus de desservir Bâle il dessert aussi la ville de Saint-Louis en France, ainsi que la ville allemande de Weil-am-Rhein!


II. la vieille ville (Altstadt Grossbasel)

Après avoir visité la Marktplatz, je vous conseille de continuer votre visite de la ville en explorant la calme et douce vieille ville de Bâle (Altstadt Grossbasel). Au cours de ma visite de cette dernière, j’ai eu l’occasion de longer quelques longs boulevards remplies de luxueuses boutiques ainsi qu’un tas de rues en pentes moyenâgeuses plus intimes. Vous trouverez un peu de tout dans cette toute petite vieille ville qui se visite rapidement (moins d’une heure ou deux en théorie) et qui aura tout pour combler vos attentes.  

Cette partie de la ville est la plus ancienne partie de Bâle, je n’ai malheureusement pas eu le temps de la visiter dans son entièreté car j’y suis resté en Suisse peu de temps, mais je ne manquerai pas de retourner dans cette superbe ville pour une visite plus en profondeur, et pour voir ces nombreuses petites églises, places et autres lieu charmant à découvrir.


III. la Basler Münster

Au cours des ruelles de la vieille ville, je commence à observer au loin deux jolies tours, il s’agit là de la cathédrale Notre-Dame (Basler Münster), un magnifique monument médiéval datant du VIIIème siècle. Cet édifice est construit sur un ancien oppidum en plein cœur de la vieille ville qui fut construit sur la  »Pfalz »: une terrasse artificielle créée de manière à dominer les rives du Rhin ainsi que les frontières françaises et allemandes à proximité. La visite de la cathédrale et du cloître attenant est gratuite, cependant les clochers sont payants.


VI. la vue sur l’Altstadt Kleinbasel depuis la Pfalz

Si vous êtes devant les clochers de la cathédrale, il vous faudra marcher quelques mètres pour arriver au bout de la Pflaz, une petite terrasse artificielle sur laquelle est construit l’édifice. Depuis cette dernière, la vue sur Bâle et ces ponts est juste dingue! Vous aurez l’occasion de dominer le Rhin en premier plan, ainsi qu’au loin le reste de la vieille ville (Altstadt Kleinbasel cette fois-ci) avec deux petits grattes ciels qui symbolisent la ville.   

Fun fact, si vous visitez la ville en été, vous pouvez aussi vous baigner dans le Rhin et même faire du paddle en plein centre-ville! De nombreuses personnes descendent au fleuve par de petits escaliers au niveau des berges, et se laissent ensuite porter par le courant pour se rafraîchir des chauds étés.


En résumé:

  • Basler Münster: ★★★★★
  • Pfalz: ★★★★★
  • Altstadt Grossbasel: ★★★★★
  • Basler Rathaus: ★★★★★
  • Marktplatz: ★★★★★

Pologne: Visite des camps d’Auschwitz-Birkenau et des Mines de sel de Wieliczka

Dans cet article, je vais vous parler de deux endroits qu’il faut ABSOLUMENT voir autour de Cracovie: les tristement célèbres camps de concentration d’Auschwitz et Birkenau, ainsi que la magnifique mine de sel de Wieliczka. Pour ma part, afin de profiter au mieux de mes visites, j’avais divisé les visites sur deux jours consécutifs. Mais ces monuments sont évidemment visitables en une journée en s’y rendant tôt le matin. La Pologne regorge de nombreux sites historiques à découvrir autour de Cracovie : châteaux, églises, etc… Mais j’ai sélectionné ces deux endroits car premièrement, ils sont emblématiques de l’histoire de la Pologne, et aussi parce qu’ils sont classés et protégés par l’UNESCO au titre de patrimoine culturel mondial.     

On m’a souvent demandé si la visite des camps de concentration était adaptée au jeune public, je réponds que oui! Le site du camp indique que la visite n’est pas recommandée pour les enfants de moins de 14 ans, ce qui est tout à fait juste, mais une visite sans guide est tout à fait envisageable avec les plus jeunes. En adaptant le discours à son public, tout le monde est capable de comprendre ce qu’il s’est passé entre ces murs, et faire face à la dure réalité de ce que fut la Shoah. Le devoir de mémoire de ces lieux se doit d’être perpétué car même 75 ans après la mémoire des polonais reste endeuillée, et nombreux sont les survivants qui se comptent encore par centaines, bien que ce chiffre soit en baisse chaque année. La visite des mines de sel reste plus légère mais n’en reste pas moins vide d’intérêt. Ces fameuses mines, exploitées du XIIIème siècle jusqu’en 1996, comprennent plus de neuf niveaux souterrains et plus de 300 kilomètres de galeries.     


Camp de Concentration d’Auschwitz

Le premier endroit que je vais aborder se situe à moins d’une heure de Cracovie : le camp de concentration d’Auschwitz. Pour ma part, j’avais visité ce site avec mon père et nous avons opté pour un  »tour operator » qui organise des visites avec navette, entrées et le transfert entre les camps pour environ 30€ chacun afin d’avoir un guide, et le transport inclus (ce que je ne fais plus aujourd’hui). Notre visite des camps à démarré devant la tristement célèbre arche où il est écrit  »Arbeit macht frei », puis nous avons fait le tour avec un guide (ce que je recommande fortement) afin de faire la visite des salles du camps, de certaines pièces transformées en musées, et même des chambres à gaz qui m’ont fait ressentir une sensation que je n’avais jamais encore eu: celle de la mort.  

La visite est particulièrement dure au niveau psychologique avec un guide, car il rentre réellement dans les détails de ce qui s’est passé, et de ce que l’on ignore encore. Attention cependant si vous visitez le site avec des  »plus jeunes », car certaines salles sont plus difficiles à visiter que d’autres telles que la salle   »aux cheveux »,  »la salle aux  sacs », la salle aux  »chaussures », ainsi que les salles de tortures et les chambres à gaz. Si vous visitez ce site, il faut compter au moins 3 heures afin de bien comprendre le sort des 1 100 000 personnes mortes dans ces camps et des six millions de morts pendant la Shoah qui aura tué plus de 40% de la population juive mondiale.  


Camp de Concentration de Birkenau

Théoriquement, toutes les visites du camp d’Auschwitz se terminent forcément par celui de Birkenau, un second camp où rien ni personne ne peut vous préparer à un tel choc psychologique. Les quelques minutes de bus entre les deux camps sont lourdes, car après avoir vu toutes les horreurs d’Auschwitz, je m’apprête à rentrer dans un camp beaucoup plus grand, beaucoup plus vaste, et beaucoup plus compliqué et chargé en histoire que le premier. Dans ce vaste camp de 170 hectares, il faut déjà presque une heure de marche pour aller d’un bout à l’autre du camp, le tout étant entouré de ruines, de fossés, de murs et de fil barbelés pour le délimiter.       

Parmi les nombreuses parties à visiter du camp (baraquement des hommes, des enfants, bloc de la mort, etc…), il vous faudra compter au moins trois heures (voir quatre) afin de visiter ce triste lieu en détail que vous ne pourrez pas quitter sans verser une larme. Cependant à Birkenau une bonne partie du camp fut bombardé, ce qui explique qu’une partie des chambres à gaz ne sont plus debout (il reste encore cependant les cheminées et les traces des murs), mais je n’ose imaginer à quoi devait ressembler ce camps de la mort construit  »comme une usine à tuer » en plein fonctionnement. Peu importe votre âge, la visite de ce lieu changera votre vision de l’homme à jamais.  


Mines de Sel de Wieliczka

Le lendemain de ma visite dans les camps de la mort, je me suis rendu dans la banlieue de Cracovie pour visiter les Mines de Sel de Wieliczka, un second site majeur à voir autour de la ville. De même que pour les camps de concentration, j’avais visité ce site en excursion (avec ma mère cette fois-ci) pour une vingtaine d’euros environ. 

La visite de ce lieu est magique, vous pourrez au cours de votre parcours souterrain passer par des chapelles, des tunnels construits sous terre, ainsi que la pièce maîtresse: la chapelle Sainte Kinga. Cette immense salle d’une dizaine de mètres de hauteur se situe à plus de cent mètres de profondeur et fut construite en 1896 dans un endroit libéré à la suite de l’extraction d’un immense bloc de sel. Cette visite souterraine vous émerveillera car il est improbable de découvrir dans ces lieux une si belle chapelle d’une taille si impressionnante. De plus, vous pourrez aussi trouver sous terre d’autres salles incroyables dont un petit musée, un bar, un restaurant, et bien plus encore pour compléter cette visite unique qui à clôturer mon petit voyage Polonais.   


En résumé:

  • Camps d’Auschwitz: ★★★★★
  • Camps de Birkenau: ★★★★★
  • Mine de Sel de Wieliczka: ★★★★★

Gand: 6 lieux incontournables à voir lors d’une courte visite

Dans cet article, je vais vous parler de Gand, une petite ville que j’ai exploré après deux jours passés à Bruxelles. De base, j’avais pas prévu de sortir de la capitale car j’étais là pour quelques jours seulement, mais au final la tentation était trop forte pour ne pas quitter la ville et aller explorer soit Gand où Bruges qui m’attirait bien trop. Après la visite de l’Atomium, je me suis rendu à la gare la plus proche (à Jette) afin de prendre un train qui m’amène à Gand, une des plus belle ville que j’ai vu à ce jour.    

A la différence de Bruges, Gand était un peu moins loin, et le train permettait d’y accéder rapidement. J’étais à Jette à ce moment-là, et des trains partent régulièrement pour Gand, le trajet aller/retour m’a coûté 12€ en tarif jeune et en faisant un changement express à Denderleeuw. Peu de gens ne parlent Français ici car on est dans la partie flamande du pays, et les Pays-Bas ne sont pas très loin.   


Parlons de Gand…:

-J’ai voyagé en…. : marche, tramway

-J’ai loger: x

-Kilomètres parcourus: 10 environ

-Durée du voyage: quelques heures

-Ce que j’ai préféré: la vue du beffroi sur Gand

-Ce que j’ai moins aimé: la distance trop grande entre la gare et le vieux centre

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-La petite taille de vieille ville
-Une escapade rapide depuis Bruxelles
-La possibilitée de monter au sommet du beffroi
-la distance entre la gare et la vieille ville

I. découvrir la Korenmarkt et la Sint-Niklaaskerk

Une fois sorti de la gare et avoir marché un bon marathon pour arriver dans la vieille ville située à 45 minutes de cette dernière (le tramway propose aussi le trajet pour 4€), j’arrive sur enfin la Korenmarkt qui marque l’entrée de la vieille ville.

Avant toute visite, j’ai pris un cornet de frites pour me réchauffer, puis j’ai commencé ma visite de la magnifique vieille ville par la Sint-Niklaaskerk (église Saint-Nicolas) une jolie église situé sur cette place qui forme avec le beffroi et la cathédrale les trois gros clochers de la ville.   


II. observer les toits de la ville depuis le Beffroi

Après avoir visité l’église, je vous conseille de continuer votre visite de la vieille ville en vous rendant au haut beffroi situé entre la Sint-Niklaaskerk et la Sint-Baafskathedraal.    

Aller à Gand sans grimper au sommet de ce dernier serait une grave erreur, car le beffroi offre depuis son sommet à plus de 90 mètres une vue panoramique sur tout la ville avec ces canaux, sur ces petites maisons, ses clochers, ainsi qu’au loin par beau temps sur les Pays-Bas.  


III. regarder le haut clocher de la Sint-Baafskathedraal

Juste en bas du beffroi se trouve sur la place Sint-Baafsplein la magnifique Sint-Baafskathedraal (Cathédrale Saint-Bavon) qui est à mes yeux le plus beau monument de la vieille ville et des  »trois clochers ». J’ai pris le temps de rentrer dedans à la tombée de la nuit, puis j’ai ensuite profité de prendre un chocolat chaud avec encore (une gaufre) avant de continuer ma visite de la ville.


IV. découvrir à pied les plus jolies façades de la vieille ville

Souvent quand je suis à l’étranger, j’adore pouvoir visiter la ville dans laquelle je loge la nuit, et je suis malheureusement parfois déçu de voir qu’une fois la nuit tombée la ville s’éteint. Ce qui n’est en aucun cas la ville de Gand qui devient encore plus belle et plus magique une fois la nuit tombée!    

De jour comme de nuit, je vous conseille donc de faire le tour de la vieille ville et de ces canaux afin de palper l’ambiance si douce (mais pas moins dynamique) de la vieille ville qui se réveille encore plus la nuit tombée. Comme par magie, la ville se réveille à nouveau, les habitants sortent de chez eux pour boire une bière, un café où juste flâner dans cette ville où il y fait bon vivre à n’importe quelle heure de la journée.     


V. faire le tour au fil des canaux du Château des comtes de Flandre

En continuant ma balade de nuit, j’ai décidé de m’éloigner un peu des 3 clochers afin de me rendre sur un autre canal où se trouve le Gravensteen (Château des Comtes de Flandre), un grand château utilisé au Moyen Âge pour défendre la ville.

Je n’ai pas visité ce dernier car je suis arrivé un peu tard, mais j’ai profité de l’observer depuis quelques canaux ainsi que depuis pont Hoofdbrug qui offre une vue assez complète sur ce géant moyenâgeux.    


VI. marcher à pied sur le pont de Grasbrug et le long des quais

Au fil des canaux, j’ai eu l’occasion de me rendre sur le Pont de Grasbrug afin de voir les rues Korenlei et Graslei, deux magnifiques rues séparées par un canal où coule la Lys. Ici, les canaux sont des vrais lieux de vie où les jeunes et les couples se retrouvent à la fin de la journée afin de déguster des bières sur les terrasses toujours pleines des cafés de cette ville si calme et à la fois ultra vivante qui à clôturée mon escapade Belge.    


En résumé:

  • Beffroi: ★★★★★
  • les canaux: ★★★★★
  • Cathédrale Saint-Bavon: ★★★★
  • Château des Comtes de Flande: ★★★★
  • Eglise Saint Nicolas: ★★★★

Bruxelles: que voir dans la ville des frites?

Dans cet article, je vais vous parler de Bruxelles, une petite capitale située à quelques heures seulement de Paris qui, je ne sais pourquoi, m’a toujours attirée. A défaut d’Amsterdam qui absorbe le flot de touristes dans la région, Bruxelles est bien trop souvent boudée, et c’est bien dommage car la capitale belge vaut absolument le détour et peut en plus se visiter assez rapidement en un ou deux jours seulement. 

Puis, je ne peux pas vous parler de Bruxelles sans parler de nourriture, car il y’à du niveau! En effet, vous ne pourrez pas vous rendre en Belgique sans goûter une bonne bière, du chocolat, des spéculoos, du waterzoï, des frites, ou encore des gaufres! En plus d’être une ville vraiment romantique à mes yeux, Bruxelles est aujourd’hui une des capitales où il fait bon vivre avec un bon climat, ainsi que des bonnes spécialités culinaires qui vous accompagneront tout au long de votre voyage. 


Parlons de la Belgique…

-Durée du trajet / vol: 1h30 (Marseille / Bruxelles – Charleroi)

-Durée du voyage: deux jours

-Kilomètres parcourus: moins de 100

-Décalage horaire: 0h

-Capitale: Bruxelles

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Français, Néerlandais, Allemand

-Monnaie: Euro

-Coût de la vie: égal à la France

-J’ai voyagé : en avion

-Ce que j’ai préféré: la Grand Place de Bruxelles

-Ce que j’ai moins aimé: x

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: à deux

-Sécurité: 5/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 50€ et 70€-Entre 10€ et 20€-Avion: 50€ a/r
-Transport: Un peu cher
-Visite, autres: Cher

Parlons de Bruxelles…:

-J’ai voyagé en…. : marche, métro, tramway

-J’ai loger: à l’hôtel Aviation

-Kilomètres parcourus: 15 environ

-Durée du voyage: 3 jours

-Ce que j’ai préféré: la Grand Place

-Ce que j’ai moins aimé: x

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-Le prix des billets (Ryanair)
-La diversité linguistique
-L’accueil des Belges
-le prix du bus Charleroi Aéroport
– Bruxelles assez élevé

Mes bonnes adresses :

-la Brasserie du Lombard à quelques mètres de la Grand Place

-les frites et les fricadelles de chez Papy Burger


En résumé j’ai passé:

2019: 2 jours à Bruxelles / une après midi à Gand

2022: visite de Namur / Bruxelles entre amis


I. admirer les dorures de la Grand Place

Parmi toutes les visites de Bruxelles, vous devrez absolument passer visiter la Grand Place, une immense place comme l’indique son nom qui abrite l’hôtel de ville et son immense beffroi, ainsi qu’un tas de jolies maisons et musées à voir.    

Pour moi, cette place remplie de jolies maisons toutes récemment dorées est le plus beau coin de la ville, vous ne pourrez pas passer par Bruxelles sans voir cette grande place qui est le vrai cœur vivant de la ville.    


II. partir à la recherche du Manneken Pis (et se gaver de gaufres)

Dans la vieille ville, un des monuments les plus étonnants à voir est le Manneken Pis, une toute petite statue de 55 centimètres qui urine à longueur de journée. Malgré que la statue ne puisse pas se voir de loin, j’ai vite repéré son emplacement grâce au flot de touristes qui se prennent en photo devant. Symbole de la ville, et même du pays, la statue fait pipi depuis 1451! Même si depuis elle à été changée et réaménagée depuis, elle a toujours été là.  

Autour de la statue on trouve aussi une multitude de boutiques de gaufres qui sont légèrement plus chères qu’en hyper centre, mais elles sont toutes aussi bonnes.


III. flâner dans les ruelles de l’Îlot Sacré

Juste derrière la Grand Place se trouve un magnifique petit quartier composé de petites ruelles et de jolies places: l’Îlot sacré, un des plus jolis quartiers de la ville.

Dans les ruelles du quartier, vous pourrez trouver la Galerie de la Reine, et du Roi, deux grandes galeries vitrées qui abritent les plus belles boutiques de la ville. On y trouve un peu de tout, des boutiques de chocolats (dont certaines qui proposent de faire vos propres tablettes de chocolat), ainsi que quelques boutiques d’habits luxueux.    


IV. observer les quelques églises de la vieille ville

Parmi toute la vieille ville de Bruxelles, vous pourrez y voir quelques belles églises, mais celle qui m’à le plus marqué est la Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule, un édifice de 1226 construit sur une jolie place.  

Avis aux amateurs de monuments religieux, par rapport à d’autres villes Européennes, il n’y a pas énormément d’églises dans la vieille ville de Bruxelles. Cependant, les quelques petites églises que vous pourrez voir sont très belles et très travaillées.


V. grimper au Mont des Arts

Même si Bruxelles (et la Belgique en général) est considérée comme une ville plutôt plate, il y’à quand même une petite pente au cœur de la ville qui se nomme le Mont des Arts.  

Au sommet de ce lieu très calme, vous pourrez voir un joli petit jardin avec quelques jolies maisons typiques autour, mais surtout un des plus jolis points de vue sur le beffroi de la Grand-Place. De plus, vous pourrez aussi trouver dans ce quartier un tas de restaurants qui proposent des frites et des fricadelles à emporter, ce qui pourra vous aider à rester au chaud le long de votre visite.    


VI. voir l’infinissable Palais de Justice dans le quartier de Marolles

Au fil de ma balade autour des lieux emblématiques de la capitale, je suis forcément passé devant le Palais de Justice de Bruxelles situé dans le vieux quartier de Marolles. Ironie du sort, cet immense palais coiffé d’une coupole en or est en travaux depuis déjà trop longtemps et la restauration n’est toujours pas terminée depuis 1984! Les dimensions du palais sont monumentales, la surface au sol mesure plus de 26 000m2, ce qui en fait un des plus grands bâtiments de la ville.


VII. visiter le quartier de Sablon et le Palais de Bruxelles

Parmi tous les jolis monuments à voir dans la ville, je vous conseille de faire un tour quelques rues derrière le Mont des Arts afin de voir à côté d’un immense parc le Palais de Bruxelles, un imposant édifice qui abrite la résidence du roi de Belgique.  

Par la même occasion, perdez vous un peu dans le quartier des Sablons autour du Palais, car vous pourrez voir dans ce dernier quelques jolies églises, une synagogue dans l’ancien quartier juif, ainsi qu’un tas de ruelles ayant une atmosphère très calme et bohème.  


VIII. sortir de la vieille ville pour admirer la Basilique Nationale du Sacré-Cœur

Après avoir fait le tour de tous les plus beaux monuments de renom de la ville, je vous conseille de prendre le métro pour quitter Bruxelles afin de vous rendre à la Basilique Nationale du Sacré-Cœur de Koekelberg. Enfin quoi que, car la Basilique est coupée en deux par une ligne imaginaire, ce qui fait qu’elle fait en réalité partie de deux localités: la moitié gauche est à Koekelberg, et la moitié droite est à Ganshoren.  

Cette immense basilique fut construite en 1905, et offre en plus de son joli intérieur une vue panoramique sur toute la ville depuis sa coupole.    


IX. se sentir petit au pied de l’Atomium

Pour finir toute bonne visite de la ville, je vous conseille de vous rendre à l’Atomium, le grand emblème de Bruxelles, voir de la Belgique entière. Ce haut bâtiment extraterrestre fut construit en 1958 à l’extérieur de la ville pour l’exposition universelle, mais il fut si apprécié des belges qu’il est finalement resté sur place. Je l’ai seulement vu de l’extérieur, mais pour ceux qui souhaitent le visiter, le prix est de 15€.


En résumé:

  • Basilique Nationale du Sacré-Cœur: ★★★★★
  • Atomium: ★★★★★
  • Grand Place: ★★★★★
  • Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule: ★★★★★
  • Mont des arts: ★★★★
  • Îlot Sacré: ★★★★
  • Galerie de la Reine, et du Roi: ★★★★
  • Palais de Bruxelles: ★★★
  • Manneken Pis: ★★★
  • Palais de Justice: ★★★
  • Marolles/Sablons: ★★★

Roumanie: aller respirer le bon air de la montagne à Sinaia

Dans cet article, je vais vous parler d’un magnifique endroit situé à moins de deux heures de Bucarest: Sinaia. Lors de mon weekend en Roumanie en 2019, j’ai décidé de m’échapper de la grisaille et de la tristesse de la capitale pour une journée afin d’aller visiter un peu l’arrière pays roumain. Depuis la Gare du Nord de Bucarest, j’ai eu le choix entre plusieurs destinations pour m’évader pas très loin pour la journée. J’avais tout d’abord décidé de visiter Brașov, mais la lenteur des trains Roumains (qui mettent presque 4h pour seulement 180 km) et le manque de place dans les wagons m’ont plutôt mis en route pour Sinaia, une petite bourgade tranquille posée au milieu de la montagne.  

J’ai vraiment adoré ma visite, mais ne vous attendez pas à aller à Sinaia pour visiter un village typique roumain avec pleins de petites rues pavées et de petites placettes tranquilles. Ce village est plutôt un rassemblement de jolies petites maisonnettes et villas typiques roumaines accrochées sur la montagne. Si vous souhaitez vraiment visiter un endroit typique, je vous conseille la ville de Brașov, située à 50 kilomètres plus haut. Cependant, Sinaia est quand même conseillée pour une visite rapide à la journée, car dans ce village vous pourrez voir en même temps un magnifique monastère, un château typique, et aller manger un bon repas bien chaud les pieds dans la neige (présente de fin octobre à avril) à Cota 2000, la petite station de ski de Sinaia.  


Parlons de Sinaia…:

-J’ai voyagé en…. : train, marche, télécabine

-J’ai loger: x

-Kilomètres parcourus: 20 environ

-Durée du voyage: quelques heures

-Ce que j’ai préféré: la vue sur les montagnes depuis Cota 2000

-Ce que j’ai moins aimé: l’absence de vieux centre historique

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-une escapade rapide depuis la capitale
-respirer du bon air après un bain dans la pollution de Bucarest
-une commune avec 3 activites majeures et différentes
-la distance entre la gare et certains monuments
-la distance entre la gare et certains monuments
-le manque de centre historique

Mes bonnes adresses:

-le restaurant Bistrop Carp à Cota 2000


I. aller visiter la Biserica Sfânta Treime

Une fois sorti de la gare, j’ai commencé à escalader les pentes du village afin de me rendre tout d’abord à l’église de la Sainte Trinité (Biserica Sfânta Treime). Cette église est une des plus belles du petit village de Sinaia, sa construction à commencé en 1842 afin de donner au monastère juste en face (et au village) un plus grand édifice religieux.


II. rentrer dans la cour du Mănăstirea Sinaia

Une fois avoir fait le tour de la  »nouvelle église », la visite se poursuivra dans le magnifique Monastère de Sinaia (Mănăstirea Sinaia) qui à donné le nom à la commune. Ce joli petit monastère blanc à été fondé en 1695 par un ancien prince qui l’avait crée et nommé le monastère en l’honneur d’un pèlerinage qu’il avait effectué quelques années plus tôt au Mont Sinaï.

Comme dans la quasi totalité des monastères, vous ne pourrez pas visiter l’intégralité de l’édifice, mais je vous conseille quand même de rentrer dans le cloître afin d’aller voir l’église de l’Assomption (Biserica Adormirea Maicii Domnului) qui fut construite en 1695! Avec un peu de chance les deux églises seront ouvertes, et vous pourrez comparer et observer les magnifiques peintures intérieures qui font de ce lieu un monument d’exception.   


III. observer les détails du Castelul Peleș

Etape obligé de Sinaia, je suis ensuite parti aller voir le château de Peleș (Castelul Peleș) qui fut construit en 1877 afin d’abriter l’ancienne demeure du roi Carol Ier de Roumanie. Tout comme je l’attendais, je ne fût absolument pas déçu! Ce château emblématique de Roumanie est classé comme un des plus beaux du pays avec son style architectural très néo-renaissance et son jardin finement travaillé juste à côté.

Si vous décidez de visiter certaines des 160 pièces et salles du château, il vous faudra payer 30 lei (6.18€), cependant vous pouvez aussi visiter l’extérieur du château, sa cour, ainsi que ces jardins et ces alentours gratuitement (ce que j’ai fait). Même si vous vous y rendez uniquement pour vous promener dans les bois, ne vous rendez pas à Sinaia sans passer par le Château de Peleș qui est un must-see!   


IV. aller encore plus loin dans les bois pour voir le Castelul Pelișor

Juste après la visite extérieure du château et de ces jardins, j’avance ensuite dans le grand parc boisé pour y visiter les magnifiques dépendances du château dont la Casa Cavalerilor qui se distingue par sa façade noire, mais surtout pour voir le Château de Pelișor. Ce magnifique chalet construit en 1899 à quelques mètres du château à longtemps été la résidence du Prince Ferdinand et son épouse.

Tant pour son côté historique que pour sa façade (qui reste quand même plus simple que celui de Peleș) je vous conseille de vous octroyer une petite balade dans les bois afin de voir cette jolie petite dépendance boisée qui détonne par sa façade jaune et ces collombages. 


V. aller admirer le blanc de la neige à la station de ski Cota 2000

Après avoir baladé dans la commune pour voir ces principaux sites, il est temps de prendre de la hauteur et de grimper à Cota 2000, la petite station de ski de la commune qui offre des vues époustouflantes sur les alentours. Une fois en bas à Cota 1000, il vous faudra payer 35 lei (7.21€) pour grimper à la petite station de sport d’hiver qui offre de nombreuses possibilités d’activités sportives (ski, snowboard..), et même un petit restaurant pour se réchauffer. Si vous visitez la commune l’été, sachez que le téléphérique de Cota 2000 reste quand même ouvert pour vous offrir cette fois-ci des dizaines de randonnées à parcourir en haut des montagnes. 

N’étant pas très sport d’hiver (ni sport en général), j’ai profité de grimper en haut pour aller au restaurant de la station ainsi que pour balader un peu sur les hautes montagnes du site qui offrent des vues saisissantes et un air pur. J’ai d’ailleurs fini mon voyage ici car je suis rentré le soir à Bucarest pour prendre mon avion très tôt le matin, même si vous n’êtes pas fan des sports d’hiver, je vous conseille quand même de vous évader à Sinaia afin de profiter de cet air si pur et de ces montagnes si blanches qui m’ont laissé un souvenir impérissable de la Roumanie.


En résumé:

  • Sinaia: ★★★★★
  • Monastère de Sinaia: ★★★★★
  • Eglise de la Sainte Trinité: ★★★★★
  • Église de l’Assomption: ★★★★★
  • Château de Peleș: ★★★★★
  • Cota 2000: ★★★★★
  • Casa Cavalerilor: ★★★★
  • Château de Pelișor: ★★★★
  • Cota 1000: ★★

Cracovie: bienvenue sur la terre de mes ancêtres

Dans cet article je vais vous parler d’un de mes pays préférés, mais aussi celui dans lequel mes ancêtres ont vécu : la Pologne. Depuis ma plus tendre enfance, j’ai été bercé par les comptines polonaises de ma grand-mère aujourd’hui décédée, ainsi que par les bons petits plats de ma tante. J’ai également pu entendre de nombreux récits et souvenirs de ma famille sur leur vie en Pologne, de leurs “chez eux”, comme ils l’appelaient. Ainsi qu’entendre toutes sortes d’histoires qui allaient d’immenses repas de famille, aux côtés les plus sombres qui ont précipité le départ de Pologne d’une bonne partie de ma famille: la guerre et la Shoah. Mais malheureusement, au fil des années et des décès, les histoires familiales sur la Pologne ont cessé de se raconter et de se transmettre.

Durant toutes ces années, j’avais rêvé de me rendre dans le pays de mes ancêtres, et ce rêve s’est enfin concrétisé en 2016, où j’ai pris l’avion pour la première fois afin de me rendre en Pologne. Cependant, je ne me suis encore jamais rendu en Silésie sur les traces de ma famille (qui résident à Dąbrowa Górnicza), mais c’est sur ma liste! Dans les prochaines lignes, je vais donc vous parler de Cracovie, la belle Polonaise. Cette ville située au sud de la Pologne à proximité de la Slovaquie et de la République Tchèque renferme tous les joyaux de la Pologne ancienne et médiévale qui ont su heureusement résister à la guerre. 


Parlons de la Pologne…

-Durée du trajet / vol: 4h00 (Toulouse/Amsterdam – Amsterdam/Cracovie)

-Durée du voyage: quatre jours

-Kilomètres parcourus: environ 300

-Décalage horaire: 0h

-Capitale: Varsovie

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Polonais

-Monnaie: Złoty (ZL)

-Coût de la vie: faible

-J’ai voyagé : en avion

-Ce que j’ai préféré: la Rynek Główny de Cracovie

-Ce que j’ai moins aimé: certains quartiers de la ville un peu tristes

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: en famille

-Sécurité: 5/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 20€ et 40€ (hôtels)-Entre 5€ et 10€-Avion: 100€ a/r
-Transport: Pas cher
-Visite, autres: Pas cher

Parlons de Cracovie…:

-J’ai voyagé en…. : marche, tramway, bus

-J’ai logé: à l’hôtel Batory

-Kilomètres parcourus: 15 environ

-Durée du voyage: 2 jours

-Ce que j’ai préféré: la Rynek Główny

-Ce que j’ai moins aimé: l’ambiance assez chargée et triste de certains quartiers

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-Cracovie et ces millions d’églises
-L’hospitalité du peuple polonais
-La nourriture
-Cracovie, une ville millénaire qui à su renaître de ces cendres après la guerre
-L’ambiance un peu   »lourde » de certains quartiers

Mes bonnes adresses :

-l’hôtel Batory et son restaurant

-les mleczny bar rue Grodzka

-le Restauracja Farina rue Świętego Marka


En résumé j’ai passé:

2016: 4 jours à Cracovie et dans ces alentours


I. découvrir la Mały Rynek et les petites places de la ville

Pour commencer toute bonne visite de Cracovie, il est évident de la commencer dans la vieille ville, où comme l’on dit en polonais la Stare Miasto. Je commence donc ma visite par une adorable place: la Mały Rynek. Cette place est surnommée ainsi car elle semble minuscule (mały = petite) au premier regard face à l’immense place juste à côté.


II. faire un bon dans l’histoire en découvrant la Rynek Główny

Juste derrière la Mały Rynek se trouve une autre place (mais en 1 000 fois plus grande). Il s’agit de la Rynek Główny: la place centrale principale et emblématique de Cracovie. Cette place est décrite comme la place médiévale la plus grande et monumentale au monde, elle a d’ailleurs été classée parmi les plus belles places du monde selon Lonely Planet.

Pour faire le tour de cette dernière, comptez bien une bonne heure car elle compte de nombreux lieux à voir dont la Basilique Sainte-Marie (Kościół Mariacki), la Halle aux draps (Sukiennice) dans laquelle j’ai pris plaisir à déambuler et à acheter des souvenirs, le Beffroi de l’Ancien Hôtel de Ville (Wieża ratuszowa), ainsi que la minuscule petite Chapelle Saint Wojciech (Kościół św Wojciecha). Et encore, je ne parle pas des façades et des œuvres d’arts installées sur la place qui font de ce lieu un must-see.


III. vibrer au son des cloches de la Basilique Sainte-Marie

Comme j’ai pu en parler plus haut, sur l’immense Rynek Główny se trouve la belle Basilique Sainte-Marie (Kościół Mariacki), une superbe basilique du XIIIème siècle dont les deux tours culminent à plus de 80 mètres de hauteur. Cette église est la plus grande de la ville, mais vous serez étonné de voir que la ville de Cracovie en tant que bonne chrétienne compte sur son sol des milliers d’églises de tout style différents (j’étais aux anges)!


IV. découvrir les charmes de la Stare Miasto (et aller manger dans un mleczny bar)

Si vous passez à Cracovie, vous pourrez remarquer la grandeur de la Stare Miasto qui compte de nombreuses rues magnifiques avec dans plus ou moins toutes des églises, des chapelles, des façades colorées et remarquables, ainsi que … des Bar à lait (Mleczny Bar)!

Ces cantines typiques polonaise dans laquelle j’ai eu l’occasion de manger étaient à la base destinées aux ouvriers du bâtiment qui voulaient bien manger bien et rapidement. Mais aujourd’hui le concept a séduit de nombreux Polonais et touristes qui s’y rendent pour manger de bons petits plats chaud avant de reprendre le cours de leur journée. Pour un plat (de Pierogis par exemple) et un verre de lait fermenté ou une bière, il faudra compter moins de 5€ par personne (un prix vraiment imbattable!). 


V. sortir des murs pour aller voir l’ancienne Barbakan

Lors de mon parcours dans la ville, j’ai ensuite quitté les remparts de la Stare Miasto pour aller la Barbacane (Barbakan), une petite Barbacane construite en 1490 qui faisait autrefois partie du système des remparts de la ville. Vous rendre à cette dernière est une vraie expérience car vous passerez forcément par l‘Ulica Floriańska, une des rues piétonnes et commerciales les plus animées de la vieille ville qui abrite de nombreux artistes peintres qui vendent de magnifiques peintures.   


VI. parcourir la vieille ville au fil des 1 000 églises

Lors de votre découverte de la ville, vous serez étonné par le nombre d’édifices religieux qu’abrite Cracovie, car il ne se passera pas une minute sans que vous ne tombiez sur une église, où sur un clocher au loin.   

La ville en compte un nombre impressionnant, au point d’en voir parfois deux, trois, voir quatre dans la même rue. J’ai pour exemple l’Ulica Grodzka une longue rue piétonne qui ramène de la Rynek Główny au Château de Wawel (ma prochaine étape) et qui compte… de nombreuses églises! C’est d’ailleurs dans cette artère très animée (où j’ai pu souvent acheter des  »Rurka z kremem » en passant) que se trouve deux de mes églises préférées de la ville: l’église Saints-Pierre-et-Paul (Kościół św. Apostołów Piotra i Pawła) et l‘église Saint-André (Kościół św. Andrzeja) qui sont situées côte à côte.    


VII. grimper au Château de Wawel

Après avoir fait le tour des principaux sites de la vieille ville, je me dirige ensuite en direction d’un autre monument phare de Cracovie : le Château de Wawel (Zamek Królewski na Wawelu). Il existe plusieurs points d’entrée pour monter sur la butte du château, mais je vous conseille fortement d’y accéder par un petit chemin qui longe les hautes tours défensives car une fois au sommet vous aurez une magnifique vue sur Cracovie et sur la paisible Vistule.

Il y à de nombreux bâtiments à voir et à visiter dans le château, j’avais personnellement opté pour voir une salle où était exposé le tableau La Dame à l’Hermine, ainsi qu’une autre où était exposé les Joyaux de la Couronne polonaise et de magnifiques collections d’œuvres d’art et d’armes moyenâgeuse. Vous aurez un tas d’options à choisir, mais ces deux dernières sont assez agréables et vous permettront de monter quelques étages afin de voir une jolie vue sur la cour extérieure du château.


VIII. regarder la coupole en or de la Katedra Wawelska

Si vous grimpez au château, vous ne pourrez pas louper l’immense et magnifique Cathédrale Saints-Stanislas-et-Venceslas de Cracovie (Katedra Wawelska). Cet édifice qui fut construit en 1364 se démarque de toutes les autres église de la ville par ses deux clochers de styles complètements différents, ainsi que pour sa Chapelle de Sigismond (Kaplica Zygmuntowska) dont la coupole en or détonne à côté du rouge du château et du noir des coupoles.


IX. aller prendre un coup de chaud devant le dragon du Wawel

En quittant le château, je vous conseille de descendre en direction de la Vistule afin de voir le Dragon du Wawel (Smok Wawelski): un des nombreux emblèmes de la ville qui est attribué à une vieille légende. La légende raconte que le dragon fut tué par le légendaire roi Krakus, qui donna ensuite son nom à la ville de Cracovie!    


X. flâner dans Kazimierz, l’ancien quartier Juif de la ville

Parmi les quartiers inévitables à Cracovie, je me dois de vous parler de Kazimierz, l’ancien quartier juif de la ville qui à eu droit malheureusement à son lot de malheur et de terreur durant la Shoah.   

Aujourd’hui, ce petit quartier qui touche la Stare Miasto et devenu le quartier branché et bohème de la ville avec de nombreux bars et des jolies ruelles, mais il faut vous rappeler lors de votre visite de la ville que ce dernier comptait plus de 60 000 juifs avant la seconde guerre mondiale contre seulement 3 000 à la fin de cette dernière (aujourd’hui il est estimé qu’il ne resterait qu’une centaine de juifs ici..). D’ailleurs, à l’inverse des villes comme Budapest qui dispose aussi d’un quartier juif, j’ai trouvé que la mémoire de l’histoire restait particulièrement vive dans Kazimierz, et qu’une ambiance lourde et plutôt triste planait ici par rapport à la vieille ville qui est toujours en mouvement.  


XI. acheter une kippa et faire le tour des synagogues du quartier

Si vous visitez Kazimierz, vous aurez évidemment de faire l’occasion de faire le tour des jolies petites synagogues de ce quartier. Parmis la petite poignée restante, j’ai eu l’occasion d’en voir quelques une extérieurement, mais j’ai surtout pu visiter la Synagogue Remuh (Synagoga Remu) et son cimetière.   

Cette ancienne synagogue fondée en 1520 est d’ailleurs la seule à être encore en activité à Cracovie, et fut malheureusement ravagée et pillée par les Nazis pendant la seconde guerre mondiale. Si vous souhaitez visiter le lieux (ce que je vous conseille), la visite de la synagogue nécessite le port de la kippa pour les hommes, et d’avoir les cheveux couverts pour les femmes. Il faut aussi être particulièrement respectueux et silencieux, car de nombreux membres de la communauté juive de Cracovie viennent se recueillir sur les tombes de leurs ancêtres, souvent morts pendant la Shoah.     


En résumé:

  • Mały Rynek: ★★★★★
  • Stare Miasto: ★★★★★
  • Rynek Główny: ★★★★★
  • Basilique Sainte-Marie: ★★★★★
  • Halle aux draps: ★★★★★
  • Beffroi de l’ancien hôtel de ville: ★★★★★
  • Barbacane: ★★★★★
  • Château de Wawel: ★★★★★
  • Ulica Grodzka: ★★★★★
  • Synagogue Remuh: ★★★★★
  • Cathédrale Saints-Stanislas-et-Venceslas: ★★★★★
  • Chapelle de Sigsmond: ★★★★★
  • Dragon du Wawel: ★★★★
  • Kazimierz: ★★★★★

Bucarest: 11 étapes pour une visite réussie de la triste capitale Roumaine

Dans cet article, je vais vous parler de Bucarest, la triste capitale Roumaine que j’ai visité encore en novembre 2019. J’avais décidé de partir en Roumanie 3 jours afin de voir la fameuse Bucarest, une capitale qui n’a absolument rien de connu et de commun avec les autres capitales Européennes. Parmi les nombreuses recherches que j’ai faites sur Bucarest avant de partir, je me rends compte que cette immense métropole cache un seul et unique monument notable à visiter : Le Parlement Roumain. Il s’agit d’un immense bâtiment créé par Nicolae Ceaușescu : un ancien dictateur qui a fait régner la peur et l’effroi en Roumanie pendant des années. Mais alors, qu’est-ce qui se cache dans cette immense ville, décrite comme étant froide et vide?

Forcément une fois sur place, j’ai pu constater par moi même qu’il n’y avait malheureusement pas grand-chose à voir à Bucarest, mais je n’ai cependant absolument pas été déçu! Avant d’aller plus loin, il faut savoir qu’il n’y a   »vraiment pas grand chose » à voir à Bucarest de réellement notable, et que la visite de la ville est largement faisable en un seul jour (voir en quelques heures). Mais d’abord, faut comprendre que la ville n’à pas forcément pas été très gâtée par l’histoire car par rapport aux autres capitales Européennes, Bucarest en elle-même n’est pas très ancienne et date seulement de 1370. Puis après un développement trop tarif la ville subit, plus récemment des bombardements, des guerres, des massacres, des tremblement de terre ce qui transforma à tout jamais le paysage urbain de la triste Bucarest…


Parlons de la Roumanie…

-Durée du trajet / vol: 2h30 (Marseille / Bucarest)

-Durée du voyage: deux jours

-Kilomètres parcourus: 300 environ

-Décalage horaire: 1h

-Capitale: Bucarest

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Roumain

-Monnaie: Leu (RON)

-Coût de la vie: faible

-J’ai voyagé : en avion

-Ce que j’ai préféré: les montagnes de Sinaia

-Ce que j’ai moins aimé: la tristesse d’une bonne partie des quartiers de Bucarest

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: en solitaire

-Sécurité: 3,5/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 20€ et 50€-Entre 5€ et 10€-Avion: 50€ l’aller/retour
-Transport: Pas cher
-Visite, autres: Pas cher

Parlons de Bucarest…:

-J’ai voyagé en…. : métro, Uber, marche

-J’ai logé: à l’hôtel Uranus (proche de la Gare du Nord que je déconseille!)

-Kilomètres parcourus: 20 environ

-Ce que j’ai préféré: le parlement de Bucarest

-Ce que j’ai moins aimé: la tristesse d’une bonne partie des quartiers de Bucarest

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-La beauté de Bucarest, une des capitales les plus atypique d’Europe
-Les magnifiques montagnes Roumaines à seulement 1h30 de train
-Bucarest, une ville visitable rapidement
-Le manque de patrimoine à Bucarest
-Le nombre impressionnant de haut bâtiments autour du centre ville

Mes bonnes adresses:

-le restaurant Old Kitchen (proche de l’Athénée Roumain)

-boire du vin chaud et manger des spécialités roumaines au marché de Noël de la Piața Constituției

-pour un bar avec une jolie vue: Linea / Closer to the moon


En résumé j’ai passé:

2019: -un week-end entre Bucarest et Sinaia / Cota 2000

2022: -trois jours entre Bucarest, Brașov et Târgoviște


I. bader devant l’immense Parlement Roumain (et mettre une heure à faire le tour)

Si vous visitez Bucarest, toute bonne visite commencera forcément par l’immense Parlement Roumain (Palatul Parlamentului), et ça n’est pas compliqué de le repérer dans Bucarest car vous ne pourrez pas le louper! Les chiffres font peur, le palais comporte 12 étages, mesure plus de 84 mètres de hauteur avec plus de 365 000m2, il y a aussi plus de 1 100 pièces dont moins de 400 sont réellement utilisées. Mais aussi… 8 niveaux souterrains, un bunker, et plus de 20 kilomètres de tunnels qui rejoignent les autres institutions présentes dans la capitale! Ce palais à l’égo surdimensionné est aussi est le deuxième plus grand édifice administratif du monde après le Pentagone aux USA (vous mettrez d’ailleurs presque un heure à faire le tour).   

Cependant, ce monument changea à tout jamais le visage de la ville car pour permettre sa construction Nicolae Ceaușescu décida l’aplanissement de l’ancienne colline d’Uranus sur laquelle était construite 1/5 de la superficie totale du centre historique de la ville. Ce qui entraîna la démolition de plus de 40 000 bâtiments, d’une trentaine d’églises (même si certaines furent déplacées), et de six synagogues, ce qui dévisagea à tout jamais Bucarest qui gardera cette cicatrice sûrement pour toujours.. Petit plus lors de ma visite, la place qui fait face au parlement (Piața Constituției) abrite l’hiver un petit marché de Noël qui est plutôt calme le jour, mais qui se transforme le soir en une grande fête où des concerts côtoient les stands de nourriture où j’ai pu déguster de délicieuses spécialitées roumaines.   


II. observer la construction de la géante Cathédrale du Salut de la Nation

Juste à côté du Parlement se trouve un autre monument qui fait encore énormément couler de l’encre en Roumanie: la Cathédrale du Salut de la Nation Roumaine (Catedrala Mântuirii Neamului Românesc). Cette dernière encore en cours de construction fut décidée car Bucarest à l’inverse des grandes villes Européennes ne possédait jusqu’en 2011 aucun   »grand » édifice religieux de taille pour accueillir des fidèles à grande échelle. Dès lors, la construction d’un édifice religieux fut prononcée. (mais quelle idée…)   

Toujours avec une vision grotesque de l’immense, cette cathédrale construite dans l’enceinte du parlement devrait atteindre plus de 120 mètres de hauteur à la fin de sa construction et devrait pouvoir accueillir plus de 5 000 fidèles, ce qui en fera une des plus grandes églises orthodoxe au monde. Toujours au programme, il est prévu que le site soit entouré d’une bibliothèque, d’un hôtel, de salons de réception ainsi que de la résidence du Patriarche de l’église orthodoxe roumaine. Cependant, encore aujourd’hui l’édifice n’est toujours pas fini et le bâtiment fait scandale pour son énormissime coût (entre 80 et 120 millions d’euros actuellement), ainsi que par la  »non nécessité » de construire un si grand édifice alors que les anciennes églises historiques de la ville n’ont toujours pas été restaurée ou reconstruite pour certaines et que la Roumanie est encore aujourd’hui un des pays les plus pauvres d’Europe.  


III. aller voir les fontaines de la Piața Unirii (quand elles fonctionnent)

Tout en restant pas très loin du parlement, vous pourrez toujours traîner dans le Centrul Civic (le  »nouveau centre » de la ville bâti sur les ruines de l’ancienne) afin de voir Fântâna lui Bucur (qui était malheureusement éteinte lors de ma venue). Ces jolies fontaines au fond bleue se situe au beau milieu de la Piața Unirii: une grande place  »moderne » au milieu de la ville.

Lors de la rédaction de l’article, j’ai hésité à mettre la place dans les lieu  »à voir » de la ville, mais même si son aspect paraît brutal et dur, la place représente bien le visage du Bucarest actuel: une ville laissée à l’abandon, qui subit encore les ravages du temps.


IV. faire un tour à pied dans le vieux centre

Une fois sorti du Centrul Civic, je me suis ensuite rendu dans le fameux “Vieux Bucarest” dans lequel se trouvent quelques jolies églises renommées telles que la Biserica Sfântul Anton, ainsi qu’un tas de jolies ruelles pavées. Ne vous inquiétez pas, toute la vieille ville peut être visitée à pied car elle est toute petite et entièrement piétonne, au plus grand plaisir des voyageurs. Non loin du centre se trouve aussi parmi les lieux de renom de la ville l’Athénée Roumain (Ateneul Român), une immense salle de concert construite en 1886 qui se fondrait presque dans le paysage.   

Malgré sa petite taille, le centre ancien est pittoresque et rempli de petites ruelles étroites, cette partie à miraculeusement été préservée de la folie de Nicolae Ceaușescu et vous offre un aperçu de ce qui se fait de plus beau à Bucarest. Aujourd’hui, le vieux centre est rempli de restaurant vivant, ainsi que de bar où l’alcool coule à flot toutes les nuits, cette partie de la ville est surtout connue pour ces fêtes sans fin, ainsi que pour toutes ces dérives qui vont fait de cette partie de la ville et de la Strada Lipscani une vraie artère de la soif roumaine.  


V. faire des détours pour observer les plus anciennes églises de la ville (bien souvent cachées)

Dans Bucarest, vous aurez sur votre liste à noter de faire le tour des petites églises anciennes (et très mignonnes), car il y’en à un tas éparpillées autour de la vieille ville! Il vous suffit de chercher un peu au détour de quelques rues et de quelques petites places afin de découvrir certaines petites perles cachées que vous n’aurez pas vu au premier coup d’œil car…  

Beaucoup d’églises furent lors du règne de Nicolae démolies car monsieur détestait sa propre capitale, il disait d’ailleurs souvent que  »Si on démolissait Bucarest en entier, ce serait beau ». Il était donc à son époque normal de démolir les églises qui  »entachait » la ville, où au mieux de les “cacher” et les dissimuler derrière des bâtiments ou des immeubles. Il vous faudra donc chercher pour les trouver!  


VI. flâner au bord de la Dâmbovița

Comme toute ville Européenne, Bucarest compte à petite rivière: la Dâmbovița. Cette dernière coûte quasiment tout le long de la capitale, vous pourrez profiter de vous balader (où de manger un bout) au bord de cette dernière qui donne un air un peu  »romantique » à cette grande ville pleine de béton.   


VII. aller visiter la petite église du monastère Stavropoleos

Si vous marchez dans le vieux centre, faites attention car en plein milieu de ce dernier se tient un des plus beaux monuments de la capitale: l’église du Monastère Stavropoleos.    

Cette toute petite église de 1724 est aujourd’hui un des monuments les plus appréciés de la capitale pour son architecture typique, son petit cloître (visitable gratuitement), ainsi que pour son intérieur extrêmement riche de style Brancovenesc. Faites donc attention de ne pas la louper! 


VIII. grimper sur la Dealul Mitropoliei

Derrière les nombreux bâtiments du Centrul Civic, un petit monticule attire mon regard : le Dealul Mitropoliei. Au sommet de celle-ci se trouve la Cathédrale Patriarcale roumaine (Catedrala Patriarhală Sfinții Împărați Constantin și Elena), une magnifique cathédrale de 1654 qui est devenu, au fil du temps la plus grande église de Bucarest (jusqu’à la construction de la nouvelle cathédrale à côté du parlement). 

Cet édifice est pour moi le plus beau et le plus attirant de toute la ville, car je retrouve dans ce lieu le Bucarest “d’avant”, un Bucarest sincère et traditionnel qui fait face à la folie destructrice du communisme. Je vous conseille absolument de grimper sur cette petite colline, car vous pourrez de plus observer de la haut un joli panorama du Centrul Civic, de la nouvelle cathédrale et du Parlement.   


IX. prendre le métro pour aller voir l’Arcul de Triumf

Une fois avoir (déjà…) fait le tour des principaux monuments de la ville, je vous conseille de prendre le métro afin de vous rendre dans un autre secteur de la ville où se trouvent encore quelques monuments à voir. 

Le premier monument que j’ai vu est le petit Arc de Triomphe (Arcul de Triumf), un joli arc construit sur le modèle de l’arc de triomphe parisien en 1935. Haut de 27 mètres, ce dernier est aujourd’hui construit sur les interminables boulevards rectilignes qui aident les automobilistes à rentrer et sortir de la ville.  


X. contempler l’immense (encore) bâtiment de la Casa Presei Libere

Non loin de l’arc de triomphe au bout de ce qui est encore un interminable boulevard se trouve la Maison de la Presse Libre (Casa Presei Libere), le dernier grand monument que j’ai vu à Bucarest.

Cet immense bâtiment de style stalinien est une fois de plus construit dans des dimensions impressionnantes: il mesure 91.6 mètres de haut sur plus 104 mètres de large, et fut jusqu’à 2007 le plus haut bâtiment de la ville (à croire que les roumains aiment la démesure..) Ce bâtiment construit en 1952 a abrité l’ensemble des médias communistes et d’État roumains, rôle qu’il joue encore aujourd’hui avec les médias locaux.   


XI. aller boire un chocolat chaud au bord du lac Herăstrău

Pour finir ma visite de la ville, j’ai décidé d’aller chiller dans le grand (et très beau) poumons vert de la ville: le parc Herăstrău. Certes Bucarest compte certains petits espaces verts dans la ville, mais le Parc Herăstrău reste le plus beau que j’ai pu voir lors de mon séjour.   

En plus d’être très grand, ce dernier compte un magnifique lac autour duquel vous pourrez venir boire un chocolat chaud où manger dans un des restaurants du parc.


En résumé:

  • Parlement Roumain: ★★★★★
  • Vieux Bucarest: ★★★★★
  • Biserica Sfântul Anton: ★★★★★
  • Strada Lipscani: ★★★★★
  • Église du Monastère Stavropoleos: ★★★★★
  • Cathédrale du Salut de la Nation Roumaine: ★★★★★
  • Dealul Mitropoliei / Cathédrale Patriarcale Roumaine: ★★★★★
  • Maison de la Presse Libre: ★★★★
  • Centrul Civic: ★★★★
  • Athénée Roumain: ★★★★
  • Arc de Triomphe: ★★★★
  • Bords de la Dâmbovița: ★★★
  • Parcul Herăstrău: ★★★
  • Piața Unirii: ★★★

Budapest: les 13 commandements

Dans cet article, je vais vous parler de Budapest, la magnifique capitale hongroise que j’ai visitée en 2017 lors d’un voyage en famille. Lors du choix du voyage, ma famille et moi avons hésité à partir dans de nombreux endroits, dont Lisbonne, Athènes ou encore Berlin, mais on à choisi Budapest. Pourquoi Budapest? car cette ville m’a (et nous à) toujours attirée  pour son histoire si glorieuse (et tragique), et aussi car par rapport aux autres villes citées plus haut, c’était la moins touristique, et le vol et les hôtels n’étaient pas bien cher, ce qui correspondait parfaitement au budget voyage de mes parents.   

Au fil des lignes, je vais donc vous parler des 13 commandements de cette ville que j’ai visité en une semaine (dont 5 jours complets). Certes, la ville ne se résume pas aux 13 monuments dont je vais vous parler car elle est immense et très étendue, mais ces derniers font pour moi partie des étapes incontournables de toutes visites de Budapest. Comme j’ai pu en entendre parler avant le voyage, la Hongrie à pour réputation de ne pas être un pays cher (certes), mais il faut quand même savoir que même si le pays est bien moins cher que nos pays d’Europe de l’ouest, la Hongrie reste quand même un peu plus chère que la Pologne, ou encore la Roumanie (mais avec un petit budget on peut s’en tenir à bon compte).  


Parlons de la Hongrie…

-Durée du trajet / vol: 2h30 (Barcelone / Budapest)

-Durée du voyage: 5 jours

-Kilomètres parcourus: moins de 50

-Décalage horaire: 0h

-Capitale: Budapest

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Hongrois

-Monnaie: Forint (FT)

-Coût de la vie: faible

-J’ai voyagé : en avion, taxi, bus, métro, tramway, funiculaire

-Ce que j’ai préféré: le Parlement de Budapest

-Ce que j’ai moins aimé: la vieille ville de Budapest parfois sur-rénovée

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: en famille

-Sécurité: 4/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 20€ et 50€-Entre 5€ et 10€-Avion: environ 100€ a/r
-Transport: peu cher
-Visite, autres: peu cher

Parlons de Budapest…:

-J’ai voyagé en…. : marche, bus, métro, tramway, funiculaire

-J’ai logé: au Royal Park Boutique Hotel (face à la gare Keleti)

-Kilomètres parcourus: 30 environ

-Ce que j’ai préféré: le Parlement de Budapest

-Ce que j’ai moins aimé: la vieille ville de Budapest parfois sur-rénovée

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-L’immensité de la ville
-Les grands marchés
-Les prix dérisoires
-Manque de rues anciennes

Mes bonnes adresses:

-l’hôtel Royal Park Boutique

-le restaurant Vidróczki Csárda

-les kürtőskalács et goulash de la place Vörösmarty tér

-les restaurants des halles centrales de Budapest


En résumé j’ai passé…

2017: une semaine à Budapest


I. balader le long du Danube (et observer ces ponts)

Dès que vous arrivez à Budapest, la première chose à obligatoirement faire est de se rendre au bord du Danube afin d’admirer la beauté de ce fleuve, et surtout afin d’y voir tous les magnifiques ponts qui le franchissent. Parmis ces derniers, j’ai eu l’occasion de voir (et de traverser) le Szabadság híd (Pont de la liberté) ainsi que l’Erzsébet híd (Pont Elizabeth) autour du quel j’ai adoré traîner afin de regarder son architecture moderne et la vue qu’il offre sur tous les monuments de Buda (rive gauche).    

Mais surtout, il vous faudra absolument voir le célèbre Széchenyi Lánchíd (Pont des Chaînes) qui reste à mes yeux le plus beau pont qui traverse le Danube à Budapest!  


II. s’émerveiller devant le géant Országház (Parlement Hongrois)

Si vous longez le Danube vous arriverez forcément devant le magnifique Országház (Parlement Hongrois), un titanesque bâtiment blanc construit en 1885 qui abrite les salles du Parlement Hongrois. Forcément, si vous allez à Budapest, vous ne pourrez pas louper ce bâtiment qui est indéniablement le symbole de la ville, voir de la nation hongroise. Que vous soyez à Pest (rive droite) où à Buda, vous apercevez forcément cet immense bâtiment qui est le plus grand de toute la Hongrie (ainsi qu’un des plus grands parlement au monde).  

Certaines salles du bâtiment sont visitables pour 12€, mais je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de le visiter. D’ailleurs, si vous trainez autour du parlement, vous passerez surement sans le savoir devant les Chaussures du Danube (Cipők a Duna-parton), il s’agit d’un petit mémorial composé de quelques chaussures installés sur les bords du Danube afin de raconter l’histoire des quelques 3500 juifs et et prisonniers politiques qui furent fusillés et jetés dans le Danube.


III. monter sur la coupole de la Szent István Bazilika

Parmi les nombreux édifices religieux de Budapest que vous pourrez voir lors de votre voyage, vous passerez sûrement devant la titanesque Basilique Saint-Étienne de Pest (Szent István Bazilika) qui est le plus grand édifice religieux de la ville. L’intérieur de cette dernière est magique, mais l’intérêt principal est de grimper sur la coupole pour 500 HUF (1,40€) afin d’avoir une vue panoramique sur tout Budapest avec le toit de tous les principaux monuments de la ville qui dépasse.   

D’ailleurs, je suis aussi revenu dans la basilique un soir afin d’écouter un concert à l’intérieur. Si vous avez l’occasion de le faire, je vous le conseille grandement afin d’entendre le son et l’acoustique divin que cette basilique émet.


IV. balader dans l’ancien ghetto juif et voir la Dohány utcai zsinagóga

Non loin de la basilique commence le quartier Juif de la ville qui renferme comme malheureusement une bonne partie des quartiers juifs européen une sombre et triste histoire. Durant la guerre, c’est plus de 70 000 personnes de toute la Hongrie qui furent rassemblés dans ce quartier qui fut re découpé pour mesurer seulement 0,26km²! La zone fut isolée du monde par des murs et des portes pendant les 3 mois de l’existence du Ghetto qui subissa ensuite les déportations, faisant passer la population juive de Budapest de 200 000 à seulement 70 000 après la guerre. 

Seule lumière de ce quartier, vous pourrez trouver la Grande Synagogue de Budapest (Dohány utcai zsinagóga) qui fait office de plus plus grande synagogue d’Europe. Ces dimensions et son architecture sont impressionnantes, elle reste aussi un must-see à voir tant pour la tragique histoire des juifs européen à ne jamais oublier que pour son architecture si spéciale.


V. faire un tour (et manger) dans les halles centrales

Si vous souhaitez faire une petite pause afin de découvrir les nombreuses traditions culinaires hongroises, je vous conseille ABSOLUMENT de vous rendre dans les Halles Centrales de Budapest (Nagy Vásárcsarnok). Ces vastes halles sont un vrai labyrinthe dans lequel on trouve un tas de produits alimentaires (fruits, légumes, poissons..), des produits régionaux, ainsi que bon nombre de petits magasins de souvenirs.   

J’ai eu l’occasion en plus de visiter cette halle d’y manger car au 1er étage se trouve bon nombre de restaurants, n’hésitez donc pas à vous rendre dans ce lieu où vous pourrez après avoir déambuler devant les nombreuses échoppes manger avec une jolie vue sur les commerces (et pour vraiment pas cher!)


VI. s’étonner de la grandeur de l’Hősök tere

En plus de toutes les places du centre de Budapest, vous ne pourrez pas manquer une visite de la Place des Héros (Hősök tere), une immense place construite pour célébrer les 1000 ans du peuple Magyars, principale ethnie de Hongrie d’aujourd’hui.    

Cet immense espace composé de statues représentant des héros de la nation est certes un peu loin du centre ville (même si elle est très bien desservie par le métro), mais elle n’en est néanmoins pas moins intéressante.


VII. flâner dans les bois du château de Vajdahunyad

Non loin de la place des Héros se trouve un immense poumon vert dans lequel vous pourrez voir le magnifique Château de Vajdahunyad (Vajdahunyad vára), un joli château un peu lugubre construit en 1896 pour l’exposition universelle.  

Dans le même parc, vous pourrez aussi voir le bâtiment des Thermes Széchenyi (Széchenyi Gyógyfürdő), de célèbres thermes ouvertes jour et  nuit (que je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de tester). Il existe d’autres termes dans Budapest car la ville fut réputée longtemps pour son thermalisme et ces eaux riches en sulfate, calcium et fluorure.  


VIII. frissonner dans la Terror Háza

Histoire de comprendre un peu plus certains passages de la triste histoire de la ville, je vous conseille de vous rendre sur les champs Elysée de Budapest: l’avenue Andrássy. Sur cette dernière se trouve la Maison de la terreur (Terror Háza), un musée qui retrace l’histoire des régimes fascistes et du communiste en Hongrie.  

Au cours de la visite, vous aurez l’occasion de faire le tour de l’immense bâtiment tristement célèbre dans lequel se trouve le musée qui à abbrité le siège du Parti des Croix fléchées, et le quartier général de la police politique communiste. A la fin de la visite, vous descendrez aussi dans les caves où les opposants politiques étaient torturés et assassinés. brrrr  


IX. faire le tour des plus belles places de la ville (et manger un Kürtőskalács)

Si vous voulez visiter Budapest correctement, vous devez faire absolument le tour des jolies places de la ville. Ma place préférée parmi les dizaines que vous pourrez trouver est la Vörösmarty tér, une grande place avec tout autour de magnifiques bâtiments typiques Européen et un tas de petits marchés.   

Sur cette place où je suis venu plusieurs fois, j’ai eu à chaque fois l’occasion d’attraper au passage un Kürtőskalács (gâteau cheminée) afin de me réchauffer les mains et continuer ma visite de la ville, et même de goûter un Goulash hongrois mangé traditionnellement dans son bol de pain.   


X. grimper au Halászbástya pour admirer la vue

Pour changer un peu de côté de la ville, je vous amène cette fois-ci à Buda, une partie plus calme et typique de la ville où se trouve son lot de monuments. Parmi ces derniers, j’ai commencé par visiter le Bastion des pêcheurs (Halászbástya) qui est situé en plein cœur du quartier du château.  

Ce magnifique monument (gratuit en plus!) est composé d’une dizaine de petites tours avec un chemin à l’intérieur qui offre une vue panoramique sur toute la ville Budapest. Si vous aimez faire de jolies photos, cet endroit sera à voir obligatoirement afin de capturer la ville dans tous ces recoins.   


XI. se sentir petit devant le clocher de Mátyás Templom

Juste à côté du Bastion des pêcheurs se trouve l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Budavár (Mátyás Templom), une des deux églises avec la Basilique de Pest qui sont absolument à voir dans la ville.  

En plus de son haut clocher qui vous fera sentir tout petit, il vous faudra aussi apprendre l’histoire de cette très vieille église qui date de 1255 et qui fut terminée que des centaines d’années après en 1896 car l’église fut détruite, brûlée, convertie en mosquée, endommagée et bombardée plusieurs fois.. Tant que vous êtes aux alentours de cette église et du bastion des pêcheurs, prenez le temps pour boire un café dans un des magnifiques petits bars cosy du quartier qui offrent parfois une vue panoramique sur la ville.  


XII. observer le bien gardé Palais de Budavár

Pour finir correctement votre visite de Buda, vous ne pourrez pas louper le magnifique Palais de Budavár (Budavári Palota), un immense château construit sur la colline de Buda au 14ème siècle.

Tout comme une partie des monuments de la ville, ce palais phoenix à réussi à renaître de ses cendres après la seconde guerre mondiale qui avait quasi complètement détruit ce dernier. Aujourd’hui à nouveau debout, le palais trône encore sur Danube et offre une splendide vue sur ce dernier et tous ces ponts. C’est un des rares monuments de la ville avec le Palais du Parlement qui peut être vu depuis quasiment partout tant il est grand et que sa coupole domine. D’ailleurs, si vous souhaitez descendre ensuite au Danube, vous pourrez emprunter un petit funiculaire qui vous amènera du Palais au Danube.   


XIII. faire une balade nocturne en bâteau sur le Danube

Après quelques jours de visite, je vous conseille d’absolument clôturer votre visite de la ville comme j’ai pu le faire par une balade sur le Danube (souvent assortie d’un verre de champagne). Pour une dizaine d’euros, j’ai eu l’occasion de faire cette expérience magique qui m’à permis de faire le tour de tous les monuments de la ville sur l’eau et d’observer leurs millions de lumières scintiller dans le Danube qui reflète parfaitement ces derniers. 

D’ailleurs, pensez à OBLIGATOIREMENT sortir afin de photographier le Palais du Parlement ainsi que le tout Buda qui brillera de 1000 feux toute la nuit au grand plaisir des visiteurs et habitant de la ville qui considèrent le Danube comme le vrai coeur de Buda-pest (qui résulte en fait du mélange de deux villages). 


En résumé:

  • les bord du Danube: ★★★★★
  • Quartier du château : ★★★★★
  • Bastion des pêcheurs: : ★★★★★
  • Eglise Notre-Dame-de-l’Assomption de Budavár: : ★★★★★
  • Maison de la terreur: ★★★★★
  • Vörösmarty tér : ★★★★★
  • Palais de Budavár: ★★★★★
  • Pont des Chaînes: ★★★★★
  • Parlement Hongrois: ★★★★★
  • Basilique Saint-Etienne de Pest: ★★★★★
  • Grande Synagogue: ★★★★★
  • Halles Centrales: ★★★★★
  • Place des Héros: ★★★★★
  • Château de Vajdahunyad: ★★★★
  • Thermes Széchenyi: ★★★★
  • Pont Elisabeth: ★★★★
  • Avenue Andrassy : ★★★

Copenhague: les essentiels en 72 heures

Dans cet article, je vais vous parler de Copenhague, la douce petite capitale danoise que j’ai eu l’occasion de visiter pendant 72 heures chrono en décembre 2019. Cette ville (et le Danemark en règle générale) m’à toujours attiré, il fallait donc que je m’y rende pour découvrir sa célèbre douceur de vivre, son hygge, sa Petite Sirène, et … son coût de la vie qui est un des plus élevés d’Europe. Certes, Copenhague fut l’une des plus belles villes que j’ai visité dans ma vie, mais elle n’en reste pas moins une des plus chères.   

Si vous voulez visiter Copenhague, je vous conseille de commencer à bien économiser car au Danemark tout est très cher, je ne conseillerai donc pas le Danemark aux voyageurs n’ayant pas un gros budget, car la vie est ici presque plus chère qu’en Suisse!  Cependant, hormis quelques déconvenues financières, vous verrez vite que la petite capitale danoise à tout pour plaire regroupant dans sa vieille ville de l’ancien, du récent,des canaux, des parcs et même l’étonnante ville libre de Christiania où vous pourrez découvrir un mode de vie complètement alternatif par rapport à la vie danoise qui semble si bien rangée. 


Parlons du Danemark…

-Durée du trajet / vol: 3h (Marseille / Copenhague)

-Durée du voyage: trois jours

-Kilomètres parcourus: moins de 20

-Décalage horaire: 0h

-Capitale: Copenhague

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Danois

-Monnaie: Courrone Danoise (DKK)

-Coût de la vie: élevé

-J’ai voyagé : en avion

-Ce que j’ai préféré: le Nyhavn

-Ce que j’ai moins aimé: x

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: à deux

-Sécurité: 5/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 80€ et 120€-Entre 30€ et 50€-Avion: 100€ a/r
-Transport: Cher
-Visites, autres: Cher

Parlons de Copenhague…:

-J’ai voyagé en…. : marche, métro, bus

-J’ai logé: à l’hôtel Wake Up Copenhagen (idéal car pas cher et proche de tout!)

-Kilomètres parcourus: 20 environ

-Durée du voyage: 3 jours

-Ce que j’ai préféré: le Nyhavn

-Ce que j’ai moins aimé: x (serieux, qui n’aime pas Copenhague?)

-Est ce que je reviendrai?: oui (ABSOLUMENT)


Le plusLe moins
-Le prix des billets (Ryanair)
-Le   »hygge » ambiant
-L’amabilité des Danois, la sécurité, l’absence de
voiture et de pollution
-Christiania et son ambiance
-Le coût démesuré de la vie

Mes bonnes adresses :

-l’hôtel Wake Up Copenhagen pour son prix pas cher

-la boulangerie Brødflov à Christianshavn pour manger un repas équilibré


En résumé j’ai passé…

2019: 3 jours à Copenhague


Jour I.

I. balader dans les Jardins de Tivoli la nuit

Une fois les valises posées, je suis directement parti en direction des Jardin de Tivoli, un immense parc d’attractions très apprécié des Copenhaguois. Le parc comprend de nombreuses attractions, des lacs, des restaurants, le tout posé dans un cadre hors du temps (que je vous conseille tout particulièrement de visiter de nuit). Tivoli, c’est aussi un des plus anciens parcs d’attraction au monde car il date de 1843!

Malgré la beauté des lieux, le seul point noir reste pour moi le prix de l’entrée du parc (18€ sans attraction un dimanche soir). Mais sachez qu’aller à Copenhague sans voir Tivoli est inutile, car malgré le prix d’entrée excessif, le parc en vaut largement la peine et mélange tout style avec entre autres une bâtisse de style oriental, des maisons typiquement nordique, une pagode chinoise…    


Jour II.

I. flâner tranquillement dans l’Indre By

Pour explorer Copenhague (de jour cette fois-ci), je vous conseille de commencer votre visite dans l’Indre By (ou vieille ville) afin de voir les magnifiques petites ruelles colorées de la ville que vous explorerez à pied où à vélo (qui se loue environ 10€ la journée).

Au Danemark (et surtout à Copenhague), vous pourrez rarement voir des bouchons (et des voitures en général) car tout est fait pour ne pas y conduire dedans, les pistes cyclables ont même la priorité sur la route! Pour louer un vélo, certains sont gratuits et d’autres peuvent être déverrouillés grâce à une application sur le téléphone portable, ce qui peut être un vrai atout pour explorer ce petit quartier (et toute la ville en général) qui est situé dans les anciens remparts de la ville.  


II. faire le tour des églises (et aller voir l’étonnante Vor Frue Kirke)

Tout en étant dans l’Indre By, je vous conseille de faire le tour des petites églises du quartier, mais surtout d’aller voir la Vor Frue Kirke, aussi appelée Cathédrale Notre-Dame de Copenhague qui fut construite en 1829.  

Etonnamment, à défaut des cathédrales toutes pleines de détails et clinquantes du reste de l’Europe, cette dernière reste toute petite, terne et discrète, comme ça se fait beaucoup au Danemark. L’église se fond très bien dans l’ambiance très douce et calme de ce petit quartier que j’ai visité plusieurs fois lors de ma visite de la ville (et que j’ai tant aimé).


III. … et des places de la vieille ville

Que ce soit dans l’Indre By où non, j’ai eu l’occasion de voir à Copenhague des dizaines de petites places mignonnes, ainsi que d’autres bien plus impressionnantes et pleines de mondes (avec parfois un nom imprononçable).

Parmi les plus belles places de la ville (sur lesquelles je me serai volontiers arrêté boire une bière), je vous conseille particulièrement d’aller découvrir toujours à pied ou à vélo la Rådhuspladsenl’Amagertov, la Gammeltorv, ainsi que la Højbro Plads qui fait face à l’île de Slotsholmen.


IV. monter à la terrasse du Rundetårn

Bien évidemment, vous ne pouvez louper lors de votre balade dans l’Indre By la belle Rundetårn, une grande tour du 17ème siècle équipée d’une plateforme d’observatoire qui offre une vue sublime sur la ville.     

Depuis la plateforme, on peut voir par beau temps la Suède, le pont de l’Øresund (que j’ai traversé deux jours plus tard), l’intégralité de l’Indre By avec tout autour l’intégralité de Copenhague. Le Danemark en général est un pays très plat, il suffit donc de monter un peu pour avoir devant vous des kilomètres et des kilomètres de vue. Si vous aussi vous souhaitez monter les pentes en colimaçons interminable de la Rundetårn (ce que je vous conseille), le prix est de 4€.  


V. observer les façades colorées du Nyhavn

Après avoir bien baladé dans l’Indre By, mon regard se porte ensuite sur les magnifiques couleurs du Nyhavn, l’ancien port de Copenhague qui sert aujourd’hui il sert à accoster des petits bateaux touristiques pour les visiteurs souhaitant visiter les nombreux canaux de la ville.

Le Nyhavn est bordé de pleins de maisons colorées, allant d’un bleu foncé au rouge pétant. La couleur sombre de l’eau reflètent les maisons, ce qui fait du Nyhavn un vrai musée à ciel ouvert et pour moi le plus bel endroit que j’ai vu à Copenhague. 


VI. s’étonner du dôme de Frederiks Kirke

A quelques pas du Nyhavn se trouve coincée dans la rue un des monuments les plus remarquables de la ville qui se distingue par ses dimensions étonnamment grande: la Frederiks Kirke (aussi appelée Marmorkirken). Cette église construite en 1749 à le record de détenir le plus grand dôme de la Scandinavie, ce qui en fait un must-have à voir parmi les édifices religieux de renom de la ville!  

Si jamais vous visitez Copenhague l’hiver, sachez que l’intérieur de la plupart des églises sont chauffées, ce qui permet de rallier l’utile à l’agréable (et surtout de se réchauffer du froid ambiant).


VII. balader dans le jardin du Rosenborg Slot

Parmi les lieux les plus emblématiques de la ville, je devais aussi vous parler du château de Rosenborg, un grand château entouré d’eau datant de 1607 qui abrite entre autres les joyaux de la couronne danoise.

Malheureusement le ciel était bien gris lors de ma visite de la ville, mais si vous visitez la ville sous un ciel bleu je vous conseille de vous rendre dans ce dernier afin d’y pique-niquer tout en profitant du cadre exceptionnel du jardin en plein milieu de la ville. En plus de ce jardin, Copenhague compte aussi bon nombre d’espaces verts, rendant la ville plus respirable.   


VIII. voir les bâtiments jaunes du Nyborder

Si vous souhaitez visiter un joli quartier de la ville tout uniformisé et de la même couleur, je vous conseille de visiter les rues jaunes du Nyborder, un petit quartier est fait entièrement de petites maisons jaunes collées les unes aux autres qui servaient avant à loger le personnel de la Marine Danoise.

Aujourd’hui, certaines de ces maisons sont encore habitées (par des marins ou non), faites donc attention lorsque vous prenez des photos de ces maisons de pas déranger les habitants dont leurs fenêtres se trouvent au ras de la rue.


IX. …. et rouge du Kastellet

De même que le quartier du Nyborder, vous aurez aussi l’occasion de voir juste à côté un autre exemple de maisons aux couleurs uniformisées, mais cette fois-ci en rouge et sur un ou deux étages.

Vous y accéderez en y grimpant un des petits monticules qui abritait jadis l’ancienne citadelle de Copenhague dont il ne reste pas grand-chose aujourd’hui hormis une église, un moulin et ces belles maisons rouges. 


X. aller rendre visite à la Petite Sirène

Pour finir la journée, rien de tel que flâner au bord de l’eau et voir… la Petite Sirène (Den Lille Havfrue en danois).

Cette petite statue est très appréciée des habitants et des touristes qui viennent observer et se prendre en photo avec la petite sirène des contes de Hans Christian Andersen. Aujourd’hui, la statue est même devenue l’emblème de Copenhague, et par la même occasion sûrement le lieux où il y’à le plus de touristes dans la capitale danoise.   


Jour III

I. le joli quartier de Christianshavn

Juste avant de quitter Copenhague pour me rendre en Suède, j’ai décidé de réserver une partie de la matinée au quartier de Christianshavn, un petit quartier paisible et bohème de la capitale. D’ailleurs, en plus d’avoir bien visité le quartier afin de voir ces petits quais et églises, j’ai aussi eu l’occasion de manger à Brødflov, une boulangerie située sur l’avenue Torvegade. Toujours dans une ambiance très cosy, j’ai pu y manger un délicieux sandwich au chèvre, un yaourt au fromage blanc et aux des graines de chia, et bien sur en dessert un roulé à la cannelle (Kanelbular) bien typique de Copenhague.       

Le quartier est aussi connu pour la Vor Frelsers Kirke, une jolie petite église dont le clocher est entouré d’un escalier en colimaçon permettant de grimper au sommet pour profiter de la vue sur le quartier. Malheureusement les clochers de la ville étaient fermés en hiver à cause des risques de chute.


II. finir sur une touche de légèreté dans la ville libre de Christiania

Bien évidemment, je ne pouvais pas non plus vous parler de Copenhague sans vous parler de la  »Ville autoproclamée de Christiania », une petite  »ville dans la ville » ayant ses propres lois, ses propres habitants, et sa propre  »indépendance ». Cette micro-nation (aujourd’hui la plus réputée d’Europe) est connue pour sa pensée ultra libre, ainsi que pour sa propre culture à part entière, étonnamment loin des standards culturels de la société danoise qui se veut rangée.  

Ici, tout comme à Amsterdam, la marijuana est légale et tout individu peut librement acheter du cannabis, un joint d’herbe ou de haschich pré-roulé (qui coûte environ 5 à 6€ le joint), ou encore acheter des produits dérivés comme des spaces-cakes. Par respect aux habitants, il est demandé aux visiteurs de ne pas photographier une partie de la ville, et ces points de vente de cannabis afin de préserver l’anonymat des personnes vendant où achetant dans cette vraie galerie d’art à ciel ouvert. En plus de tous ces coins où vous pourrez fumer ou manger au bord de l’eau, vous pourrez aussi visiter les plus jolies coins de Christiania tels que de nombreux bâtiments transformés en galerie d’art, des petites stupas, ainsi que ces dizaines d’œuvres d’art construites à même la rue. Tant aimé par certains habitants, ou détestés par d’autres, chacun est libre de voir et faire ce qu’il l’entend dans ce monde alternatif qu’est Christiania, avec à la clef de votre visite un moment que vous n’oublierai jamais et qui à clôturé pour moi mes derniers instants dans au Danemark.     


En résumé:

  • Jardins de Tivoli: ★★★★★
  • Indre By: ★★★★★
  • Nyborder: ★★★★★
  • Kastellet: ★★★★★
  • Christiania: ★★★★★
  • Christianshavn: ★★★★★
  • Petite Sirène: ★★★★★
  • Rundetårn: ★★★★★
  • Nyhavn: ★★★★★
  • Cathédrale Notre-Dame: ★★★★
  • Rådhuspladsen: ★★★★
  • Marmorkirken/Frederiks Kirke: ★★★★
  • Château de Rosenborg: ★★★★

Monaco: escapade dans le second plus petit pays au monde

Dans cet article, je vais vous parler d’une minuscule principauté coincée entre la France et la mer Méditerranée : Monaco, un petit pays bien connu pour son climat chaud, son emplacement idéal sur la côte méditerranéenne, et surtout pour sa vie extrêmement chère. En effet, ici 37,1% de la population y est millionnaire, et il y’à environ un milliardaire pour 12 000 habitants! en plus de tous ces chiffres ahurissants, la petite principauté défie tous les records: il s’agit à la fois d’un des plus petits des états au monde (2.02 km²), d’un des plus denséments peuplé (18 000 habitants au km²), ainsi qu’un des plus riche avec le mètres-carré le plus haut au monde (53 000€). Aujourd’hui la ville / pays de Monaco reste un lieux magique de la côte Méditerranéenne (qui peut se visiter assez rapidement) mélangeant une vieille ville aux couleurs italiennes figée dans le temps aux immeubles du reste des quartiers de la ville qui poussent comme des champignons dans le peu de mètres-carrés restant à Monaco qui commence petit à petit à s’étendre sur la mer.   

Si vous souhaitez vous rendre à Monaco depuis la France, vous devez savoir que la ville ne dispose pas d’aéroport (il faut donc atterrir à Nice), mais elle compte cependant de gros axes routiers dont un énorme tunnel sous la montagne et une multitude de rues coupant la principauté depuis le Cap d’Ail, Beausoleil et Roquebrune-Cap-Martin. Afin de se désenclaver, la principauté compte aussi une petite gare ferroviaire qui relie la avec la France et bien sûr avec l’Italie toute proche. La ville de Monaco peut parfois faire peur, mais je vous conseille cependant de vous y rendre (même pour quelques heures dans le cadre d’un voyage en Italie) pour son magnifique et légendaire rocher, ainsi que pour vous balader dans cette si belle ville les pieds posés dans la mer bleue azur. Pour vous aider à réussir votre visite, je vais vous compter dans les prochains paragraphes ce qui sont pour moi les six étapes incontournables de la ville, même si croyez moi Monaco et ces alentours mériterait d’être visitée pendant des jours entiers!


Parlons de Monaco…

-Durée du trajet : 4h15 (Béziers / Monaco)

-Durée du voyage: quelques heures

-Kilomètres parcourus: moins de 5

-Décalage horaire: 0h

-Capitale: Monaco

-Documents nécessaires: Carte d’identité

-Langues : Français, Monégasque

-Monnaie: Euro

-Coût de la vie: supérieur à la France

-J’ai voyagé : en voiture

-Ce que j’ai préféré: le Rocher de Monaco et ces vues

-Ce que j’ai moins aimé: x

-Est ce que je reviendrai?: oui

-J’ai voyagé: en famille / à deux

-Sécurité: 5/5

Budget dodo pour une nuitBudget miam pour un repasBudget voyage
-Entre 100€ et 1 000€ (voir bien plus)-Entre 20€ et 100€-Transport: peu cher
-Visite, autres: égal à la France

Parlons de Monaco…:

-J’ai voyagé : à pied

J’ai logé: x

-Kilomètres parcourus: 4 ou 5

-Ce que j’ai préféré: le Rocher de Monaco

-Ce que j’ai moins aimé: certains quartiers trop étouffants de la ville

-Est ce que je reviendrai?: oui


Le plusLe moins
-L’emplacement de la principauté entre   »deux pays »
-La beauté du vieux Monaco et du rocher
-Le Palais Princier et ces vues splendides
-Le coût démesuré de la vie
-Le manque d’espace
-Certains quartiers un peu   »étouffants »

En résumé j’ai passé…

2015: visite en famille des alentours du Casino de Monte-Carlo

2018: visite en famille rapide du Rocher de Monaco

2019: une après-midi sur le Rocher de Monaco


I. se sentir en Italie sur le Rocher de Monaco

En arrivant à Monaco, je vous conseille soit de vous garer dans les alentours du Casino de Monte-Carlo (que je vais aborder à la fin de l’article), où directement à Monaco-Ville  »sur le rocher » comme on dit à Monaco.            

Pour commencer une bonne visite de Monaco, rien de tel que de faire un tour sur le rocher afin de voir l’ancien centre de la principauté (qui à bien grandi depuis), ainsi que les dizaines de petites ruelles étroites posées sur rocher qui ressemblent terriblement aux ruelles de Italiennes avec leurs couleurs éclatantes. Au fil des rues offrant souvent des vues époustouflantes sur la Méditerranée, je vous conseille d’admirer ce magnifique lieu afin d’y voir ces plus jolies rues, impasses et places et chapelles qui ont déjà un air d’ailleurs. Etonnamment, si vous avez un petit creux, sachez qu’à défaut des restaurants du reste de la ville qui sont sont souvent très chers, les restaurants et pizzerias situés sur le rocher peuvent être une bonne alternative pas très chère pour manger à petit prix tout en étant proche de tout.


II. regarder le relève de la garde devant le Palais Princier

Après quelques déambulations dans la vieille ville, vous atterrirez forcément devant la célèbre Place du Palais qui abrite comme son nom l’indique la résidence officielle des Grimaldi, et ce depuis 1274!

Je vous conseille de vous rendre absolument dans ce lieu pour son côté historique (car le Palais Princier n’est rien d’autre que THE monument à voir à Monaco), mais aussi pour voir si par chance vous êtes sur la Place du Palais Princier à 12h00 la solennelle relève de la garde.  


III. profiter du calme du Port de Fontvieille

Tout en continuant votre visite de la Place du Palais, je vous conseille de vous rendre tout à gauche de cette dernière (43°43’50.0″N 7°25’12.0″E si ça peut vous aiguiller) où dans le beau Jardin de Saint-Martin afin de voir la magnifique vue panoramique sur le petit Port de Fontvieille, un tout petit port calme dont les derniers immeubles font office de  »frontière » avec la commune du Cap-d’Ail (dont le port est juxtaposé à celui de Fontvieille).   


IV. observer les immeubles moderne de Moneghetti depuis la Place du Palais

De même que pour le panoramique du Port de Fontvieille, vous pourrez obtenir aussi une sublime vue sur le tout Monaco depuis l’autre côté de la place (43°43’53.1″N 7°25’17.0″E au cas où :)). De ce magnifique point de vue, vous pourrez observer les principaux quartiers de la ville, dont Moneghetti et La Source – Costa qui sont visibles grâce à ces immeubles, ainsi que bien évidemment le beau port de Monte-Carlo où arrivent les plus beaux yachts de la Méditerranée.    

Ce panoramique est une vraie fenêtre sur la ville depuis laquelle vous pourrez observer chaque quartier de Monaco qui se distinguent chacun une architecture bien précise avec parfois au milieu de ces derniers des restes de fortifications ou des églises.


V. faire le tour des églises de la ville

En faisant le tour de la vieille ville, vous pourrez aussi remarquer un bon nombre de petites chapelles et églises mignonnes, mais je vous conseille surtout d’aller faire un tour à la Cathédrale Notre-Dame-Immaculée qui fut entièrement construite en 1875 en pierres blanches venue de la Turbie.  


VI. s’étonner devant l’architecture du Casino de Monte-Carlo

Avant de quitter Monaco, je vous conseille de descendre du rocher pour vous rendre à Monte-Carlo afin de faire un tour dans cette partie de la ville bien plus moderne que le rocher où se trouvent de magnifiques édifices avec entre autres le célèbre Casino de Monte-Carlo.   

Cette partie de la ville (comme les 3/4 de Monaco) a beaucoup changé depuis 1970 et continue constamment d’évoluer car de nouveaux immeubles poussent tels des champignons d’années en années entre la mer et les boutiques de luxes qui font de Monte-Carlo un terrain de jeu d’exception pour les millionnaires monégasques.


En résumé:

  • Rocher de Monaco: ★★★★★
  • Cathédrale Notre-Dame Immaculée: ★★★★★
  • Place du Palais: ★★★★★
  • Palais Princier: ★★★★★
  • Port de Fontvieille: ★★★★★
  • Jardin de Saint-Martin: ★★★★
  • Monte-Carlo: ★★★★
  • Casino de Monte-Carlo: ★★★★